Thème de l'année : Un monde inédit et que les Etats ne veulent pas changer

Les sociétés bougent en profondeur. La crise politique fondamentale que vivent tous les pays, la crise climatique dont les effets mortels se font sentir tous les jours dans des proportions plus ou moins grandes restent lettre morte pour les gouvernants. Aucune grande politique structurelle n'est envisagée pour transformer l'architecture du monde. L'analyse économique a laissé la place à des peurs, des angoisses autour notamment d'un déficit public, en France, à 5,6% par rapport au PIB, dont la croissance est très faible en France toujours et en régression (récession) en Allemagne. Comme le chiffon rouge de l'endettement. Alors qu'il faudrait reposer toutes les questions du système, de ce régime de production mis en place au milieu des années 1980. Le néo libéralisme - comme on dit - a vécu. Les politiques néfastes au plus grand nombre ont fortement divisé les sociétés, faisant reculer les valeurs du collectif et de la solidarité. Seul le poids en argent de chaque individu compte. C'est la porte ouverte à tous les trafics qui rapportent plus et tout de suite donnant l'image de la société actuelle prête à tout pour détruire le concurrent pour faire encore plus de profit.

L'analyse économique est pourtant vitale.  Cette année encore je vous propose de décrypter l'actualité qui, je n'en doute pas, sera fournie.

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