...LE POIROT ET LES BELLES DE FONTENAY
..Née Geneviève Mulmann,la femme au sempiternel galurin en taupé, a rencontré en 1954 Louis Poirot avec lequel elle a eu deux enfants hors mariage, quoi de plus normal me direz vous. Sous l'Occupation, Louis Poirot eut la bonne idée de prendre comme nom de code dans la Résistance "Poirot de Fontenay"..
Sans attendre plus avant, et le lendemain même de son décès, elle s'empara de son titre de noblesse, plus en rapport, il faut bien l'avouer, avec sa profession d'esthéticienne et avec son penchant pour les patates...
Les "belles de (Geneviève de) Fontenay" se récoltant alors tous les ans à l'approche des fesses de fin d'année sous la braguette de Jean Pierre Foucault, mètre de cérémonie, spécialiste des coulisses et des trous de serrure.
Cette recette de "soupe populaire" est bonne puisque depuis des lustres elle n'a plus qu'à rajouter à "poirot - pommes de terre" , les carottes, celles là mêmes qu'elle tend à de ravissantes créatures censées "assurer ses arrières"..
Quant aux petits pois, indispensables pour faire une "belle jardinière", il lui suffit de les récolter chez ses protégées,victimes consentantes, comme n'importe quel proxénète digne de ce nom..
Rêver de Jeannot, pour Chaleurs Actuelles